On connaissait le syndrome de Paris, ce blues qui peut aller jusqu’à prendre la forme d’un traumatisme, et qui dévaste la population japonaise vivant dans la capitale. Mais on connaît moins, voire pas du tout, le syndrome de Tokyo, figure inversée, qui touche de plein fouet les français expatriés dans la ville qui, pour la plupart, les faisait tant rêver.
mercredi 15 avril 2009
Branledor
Blanc de poulet au Saint-Martin Rituel du dimanche Ah, tous ces mondains Ne viennent s'agripper à mon manche Les vils, que pour Espérer une citation Dans Berlol, four Où enflammé d'indignation Régurgiterai-je à l'infini ce homard
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