dimanche 2 novembre 2008
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On connaissait le syndrome de Paris, ce blues qui peut aller jusqu’à prendre la forme d’un traumatisme, et qui dévaste la population japonaise vivant dans la capitale. Mais on connaît moins, voire pas du tout, le syndrome de Tokyo, figure inversée, qui touche de plein fouet les français expatriés dans la ville qui, pour la plupart, les faisait tant rêver.
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